Il y a 5 ans que le groupe de presse Daabaaru voyait le jour dans la cité des Koburu. Cet organe composé du quotidien Daabaaru, de Daabaaru Tv et de Daabaaru web radio a révolutionné la presse béninoise notamment dans le septentrion. Cinq ans après, quelques professionnels des médias apprécient le parcours de ce média et font des suggestions pour l’amélioration du travail qui se fait. Lisez plutôt
Wilfried AGNINNIN
Soulémane Gbassidé, journaliste culturel, rédacteur en chef à Deeman radio Fm.
« Le groupe de presse Daabaaru est venu combler les attentes des populations septentrionales et du Bénin en matière d’information factuelle. Daabaaru est un autre son de cloche dans l’information. Vous avez souvent la primeur de l’information et de l’information précise. Vous osez dénoncer même si à certains moments, j’estime pour ma part que vous en faites un peu trop. Mais je comprends parfois cette attitude puisque la presse béninoise est à l’image des béninois. Vous aviez pris le risque de ratisser large malgré vos moyens ” modestes”. C’est audacieux. Vous êtes présents sur la toile, c’est un exploit. Vous aviez eu le réflexe de partenariser avec pratiquement toutes les mairies du septentrion, c’est une opportunité pour un organe de presse pour celui qui connait l’univers médiatique au Bénin. Mais sachez que 5 ans de prestation médiatique, c’est fini l’adolescence professionnelle. Le plus dur commence maintenant avec l’exigence du personnel journaliste et le coût des investissements ainsi que des impôts également. C’est maintenant qu’il faut vivre les pires réalités du monde médiatique. Mais tenez bon.
Comme suggestions, je vous propose de basculer partiellement dans la production intemporelle, je veux parler des magazines, documentaires, chroniques (…) des productions qui intéresseraient les internationaux tels que les touristes ou les chercheurs. Pour cela, il faut continuer la formation des journalistes ainsi que des autres professionnels des médias qui animent le groupe de presse. De toutes les façons, ils sont dans la trajectoire, il suffit de baliser le terrain pour leur permettre de se spécialiser. Puisque la production médiatique coûte chère pour des organes nationaux que nous sommes. Je vous suggère de gérer le présent au lieu de vous engager dans une autre aventure incertaine par les temps qui courent. Je m’en excuse si j’ai été un peu critique ».
Edouard Adodé, promoteur du quotidien “Le Grand Regard”
« Déjà 5 ans pour Daabaaru ! Gloire à Dieu ! C’est du chemin qui est fait. Je suis vraiment heureux des pas de géant que cet organe est en train de poser dans l’univers de la presse béninoise. Grande est ma joie de voir cette maison qui a été d’une grande nécessité pour ma vie, grandir et acquérir de la notoriété dans la presse au Bénin. Daabaaru, est pour nous une référence sur plusieurs points quand bien même parfois nous ne partageons pas certaines considérations liées à la profession. Et c’est de bonne guerre. J’ai toujours admiré l’esprit de confraternité et de fraternité qui caractérise le promoteur qui malgré son jeune âge fait preuve de dynamisme et de sérieux en tout. Je souhaite plus de succès à Daabaaru, à son promoteur, aux employés et à tous ses partenaires. Que le Tout Puissant continue d’éclairer leur chemin. S’il y a quelque chose que je peux encore souhaiter c’est de voir Daabaaru beaucoup plus indépendant et réussir à percer l’univers de la presse continentale pour le bonheur de la jeunesse africaine. Joyeux anniversaire à ma première famille de presse ».
Alfred Adjomagbossou, Promoteur du groupe de presse DuCoin Info
« Je pense que 5 ans dans la vie d’une société de presse ce n’est pas rien, c’est beaucoup de choses. En termes d’appréciations, je peux dire tout simplement que Daabaaru est la presse que tout le monde tente de copier. Daabaaru fait de son mieux, Daabaaru fait de la rénovation et je pense que cette dynamique doit pouvoir continuer. Et si ça doit continuer, l’effectif au complet doit pouvoir être beaucoup plus dynamique, beaucoup plus apte pour s’adapter aux différentes modifications. Et pour ma part, je ne peux que féliciter le promoteur et son équipe pour le travail qui se fait pour la révélation, pour la modernisation de la presse au Bénin et notamment dans la partie septentrionale. En termes de suggestions, je ne peux que vous demander beaucoup plus d’amélioration, beaucoup plus de courage, beaucoup plus de détermination. Vous devez comprendre déjà que les gens vous copient et vous devez travailler pour qu’il y ait du mieux, qu’il y ait de la positivité dans ce que vous faites. Et je pense que si vous le faites, cela ne serait que pour le bien de nous tous ».
Serge Fanou, journaliste et rédacteur en chef à Banigansé Fm de Banikoara.
« Cinq années d’existence, je crois que c’est une fierté pour nous qui sommes de la zone septentrionale. Tout ce que nous faisons à Banikoara ici, cela passe à Daabaaru, nous sommes contents pour ça. Daabaaru est aujourd’hui en ligne, il est pris en compte dans la revue de presse, on peut le retrouver facilement sur internet. C’est un groupe de presse qui est la bienvenue dans le septentrion. Je salue le dynamisme de cette jeune équipe qui travaille pour révolutionner la presse dans le septentrion. Cependant, l’équipe doit travailler pour que Daabaaru soit cité dans les revues internationales et aussi avoir son propre siège indépendant. Nous demandons à Daabaaru, de moderniser ses différents canaux digitaux pour plus de fluidité ».
Karim Moumouni, journaliste à Radio Su tii Déra de Nikki
« 5 ans de vie, 5 ans de parcours, 5 ans d’expériences. Le groupe de presse Daabaaru a su s’imposer particulièrement dans la zone septentrionale du Bénin grâce au dynamisme du personnel. Avec Daabaaru, l’information est à portée de main. Le quotidien Daabaaru est un leader dans la catégorie des presses écrites. En cinq ans, Daabaaru a pu couvrir pratiquement tout le Nord et le relais des informations est instantané ce qui lui a valu une confiance auprès des administrations communales. Étant journaliste, j’apprends certaines informations de Daabaaru. En cinq ans, Daabaaru a échelonné des étapes grâce au management de son Pdg, Barnabas Orou Kouman. Dans le but d’améliorer les performances, il est important que les responsables de cet organe puissent multiplier l’installation des correspondants locaux dans les communes pour permettre une couverture intégrale des évènements du pays. Aussi Daabaaru doit pouvoir beaucoup s’intéresser aux activités culturelles car aucun peuple ne peut se développer sans sa culture, ce qui lui permettra d’être toujours proche de son auditoire ».
Patrice Biaou, Directeur Général (Dg) du groupe de presse Eveil Info
« Cinq ans dans la vie d’une entreprise de Presse au Bénin n’est pas chose facile. En 5 ans, le promoteur du groupe de presse Daabaaru a réussi le pari d’un dynamisme hors pair. L’homme a su réaliser un exploit que j’avoue, plusieurs de ses aînés dans le domaine n’ont pu réaliser. C’est pourquoi je profite de cette occasion qui m’est offerte, pour féliciter le Pdg Barnabas Orou Kouman. Il est une école que plusieurs jeunes doivent suivre. Mes félicitations vont également à l’endroit de toute l’équipe. Tant qu’il reste à faire, rien n’est encore fait dit-on. Il faut maintenir le cap pour plus d’exploits. J’exhorte le promoteur et son équipe à valoriser la web radio pour plus de visibilité. Parce qu’on ne sent pas d’abord cette radio en ligne comparativement au quotidien Daabaaru et Daabaaru Tv. Joyeux anniversaire à Daabaaru et à son Promoteur ».
