D’après l’une de nos dernières publications, le commissariat de Hêvié serait mis en quarantaine suite à la découverte d’un cas testé positif au coronavirus sur l’un de deux individus provenant du Nigéria et gardés à vue dans ce poste de police dans la commune d’Abomey-Calavi. Mais après nos investigations, nous tenons à rectifier que ledit commissariat n’a pas été mis en quarantaine bien que le cas y ait été bel et bien détecté.
Selon une source digne de foi, les deux individus « ont été mis en isolement hors des locaux aussitôt à leur arrivée car le premier se plaignait des troubles respiratoires. Ce qui a motivé également leur isolement est le fait que ce dernier a quitté le Nigéria et conformément aux dipositions légales en vigueur, ce dernier devrait être mis en quarantaine ». Le commissariat a par la suite alerté le corps médical qui immédiatement s’est occupé des deux individus. Ce qui a permis la confirmation du cas positif au coronavirus en question.
Alors, dans le cadre des mesures préventives, selon la même source, ces agents de santé de la zone Abomey-Calavi-Sô-Ava ont désinfecté les locaux dudit commissariat et les policiers mis sous traitement de la chloroquine.
Voilà donc ce qui s’est passé au commissariat de Hêvié.
La rédaction de Daabaaru présente ainsi donc toutes ses excuses à la police républicaine en général et au personnel en poste au commissariat de Hêvié en particulier. De même nous tenons à nous excuser auprès de nos lecteurs pour cette manque de précision dans notre publication de ce matin titrée : « le commissariat de Hêvié mis en quarantaine ».
Edouard ADODE
C’est bien regrettable ce manque criard de professionnalisme dont fait preuve votre redaction.
Le premier rôle le du journaliste qui se veut professionnel reste la verification de l’information avant sa divulgation!
C’est bien facile de dire et de dédire quelques heures après, mais ca fait honte lorsqu’on a toute les possibilités de vérification et qu’on ne l’a pas fait.
Bonsoir votre article est toujours incomplet car il y a pas de date d’arrivé des prévenus