EDITO : Dura lex, sed lex

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Il n’est plus question de permettre à quiconque de troubler la quiétude des béninois. C’est ce qu’a martelé le chef de l’Etat lors de sa visite aux forces de défense et de sécurité blessées lors des manifestations enregistrées au lendemain du 06 avril dernier. En effet, les édifices détruits et autres biens publics endommagés par les manifestants représentent d’énormes pertes pour la Nation.

Les manifestations d’humeur conduisant à la barricade des routes désormais répréhensibles au Bénin. Les populations analphabètes doivent être sensibilisées pour ne pas tomber dans ces pièges et subir la rigueur de la loi. L’éducation des écoliers et des élèves devra être également revue pour extraire des réflexions des actes contraires à la norme.

L’école doit pouvoir reprendre et retrouver ses lettres de noblesse afin de donner à l’enseigné des aptitudes de patriote. La justice, l’armée et la police républicaine doivent unir leurs forces pour gagner le combat de la sauvegarde des biens et propriétés souvent vandalisés. Il est de bon ton que l’ordre soit rétabli afin de mettre hors d’état de nuire, les divorcés sociaux en quête de la déstabilisation de la Nation Bénin, un patrimoine commun à tous les béninois.

S.A.A

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