EXAMEN BLANC NATIONAL DU CEP : Tout se passe sans anicroche à Abomey-Calavi . Des absences notées de part et d’autres

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Le 5 juin 2023, les écoliers béninois en classe de Cm2, plancheront pour le Certificat d’Etudes Primaires (Cep) édition 2023. Mais avant ce rendez-vous important qui leur permettra d’obtenir leur premier diplôme scolaire, il est important de jauger leur niveau. D’où l’organisation des examens blancs qui ont démarré le lundi 22 mai 2023 sur toute l’étendue du territoire national.

Ainsi, dans la commune d’Abomey-Calavi, l’examen blanc du Cep a démarré sans grande difficulté dans la plupart des centres de composition. C’est ce que confirme d’ailleurs Clarisse Dorine Towendo Kpedjo, cheffe du centre de composition de Bakitha. « Le deuxième examen blanc du Cep a plutôt bien démarré ici au centre de Bakitha. Aucune difficulté n’est à signaler. Notre centre reçoit les candidats des écoles environnantes notamment ceux du Csp Clé de la Réussite, de l’Epp Finafa, de Regard, de Seko et bien d’autres », a-t-elle rassuré.

Ces propos sont renchéris par le chef centre adjoint de l’Epp Tankpè I Clément Boco Gnytabou. « À notre niveau, tout se passe normalement, les candidats sont venus à l’heure. C’est au niveau des correcteurs qu’il y a eu un léger retard mais tout est rentré rapidement dans l’ordre. Notre centre reçoit entre autres les candidats des Csp Camara Laye, Jean Piaget et de l’Epp Tankpè », a-t-il signalé.

Des absences constatées

Même si cet examen se déroule sans anicroche dans la majorité des centres, des absences sont cependant constatées par endroit. Sur 503 candidats inscrits au centre de Tankpè l, cinq n’ont pas répondu à l’appel. Du côté de Bakitha, 8 absences sont notées sur les 528 candidats attendus.

À quelques jours de l’examen national du Cep, Clément Boco Gnytabou a invité les candidats à profiter des quelques jours pour se mettre au pas. « Les enfants doivent cesser de s’amuser et se mettre au travail. On constate qu’il y a de la désinvolture quand on corrige leurs copies. Ils écrivent juste parce qu’on leur a demandé de composer. Les parents de leur côté doivent également veiller sur leurs enfants », a conseillé l’enseignant.

Samira ZAKARI

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