INSALUBRITE À PARAKOU : Quand l’incivisme des populations sabote le travail du maire

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INSALUBRITE À PARAKOU

Quand l’incivisme des populations sabote le travail du maire

Au moment où le maire Charles Toko s’échine tous les jours pour le bien être de toute sa population, il y a une frange qui s’érige en pollueurs. Cette situation perdure depuis des décennies et commence par prendre une autre proportion.
En effet la voie qui passe derrière l’école primaire publique Gare au quartier Camp Adagbè dans le premier arrondissement, est devenue aujourd’hui impraticable. Autres que les restes et les boues des chevaux déposés à ce niveau, les habitants se sont trouvé un dépotoir d’ordures, ce qui rend la circulation désagréable. Ils ont simplement décidé de ne pas s’abonner aux structures de collecte d’ordures.
Derrière une école? C’est grave! Ceci ne facilite pas du tout l’assimilation des enseignements que doivent recevoir les écoliers. Difficile de traverser sans se salir. L’odeur nauséabonde, n’en parlons même pas. C’est le désordre total.
Pour cela, il est impérieux que la municipalité agisse en interdisant aux populations de jeter les ordures à ce niveau pour le bonheur de ces écoliers à la quête de la connaissance.

A. W. I

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Actualité · Décentralisation

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