SALUBRITÉ À PARAKOU : Le Groupe de presse Daabaaru montre le bon exemple

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SALUBRITÉ À PARAKOU

Le Groupe de presse Daabaaru montre le bon exemple

Le vendredi 29 mars dernier, les journalistes du groupe de presse Daabaaru de la société Bok Sarl ont organisé une journée de salubrité dans la cité des Koburu. Cette action vise à aller au-delà de la dénonciation de l’insalubrité dans la ville de Parakou en donnant aux populations et autorités le bel exemple de la propreté. Plusieurs carrefours et places publiques ont bénéficié de cette action inédite.

Wilfried AGNINNIN (Stg)

Barnabas Orou Kouman et son équipe de rédaction veulent aller au-delà de leur métier du journalisme. Pour ce faire, une journée a été décrétée afin d’assainir les carrefours et places publiques de la ville de Parakou. Le premier acte de cet comportement éco-citoyen a impacté le carrefour aérodrome, la place publique en face du Daabaaru et celle de Bio Guèra. Ces places stratégiques de la ville ont fait peau neuve grâce au sens de citoyenneté des journalistes de ce groupe de presse composé de jeunes épris d’un environnement propre.

Ils se sont munis de balais, brouettes et tricycle pour arracher ces lieux des sachets plastiques et autres ordures qui ont élu leurs domiciles dans ces places publiques. Dans une ambiance de convivialité marquée par des chants et danses, Daabaaru a fait uvre utile.

Pour le Président Directeur Général de groupe de presse Daabaaru Barnabas Orou Kouman, cette campagne de salubrité a été menée par les membres de l’entreprise Bok SARL qui a, à son sein le quotidien Daabaaru et la chaîne de télévision numérique Daabaaru TV. Selon lui, les journalistes font partir des couches socioprofessionnelles qui dénoncent plusieurs faits de la société en l’occurrence l’insalubrité dans la ville. Pour donner le bel exemple aux populations et autorités, le journaliste doit commencer par aménager son cadre de vie. « Nous ne voulons pas rester dans ce rôle de dénonciateur, il faut qu’on montre le bel exemple. Nous sommes aussi des citoyens comme les populations que nous avons l’habitude d’accuser de ne pas contribuer à l’assainissement de leurs milieux », a expliqué Bok. L’action sera pérennisée dans le temps pense Barnabas Orou Kouman avec des uvres sociales à l’endroit des couches vulnérables.

Quotidien Daabaaru, leader de la presse écrite dans le septentrion

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