L’arrivée au pouvoir du régime de la rupture a sensiblement changé le cours de l’histoire de la vie nationale. De Cotonou à Gogounou, les populations ressentent les actions du pouvoir et le chantent aussi bien. Les réformes aussi bien législatives que politiques ont redynamisé le vécu quotidien des béninois. On note depuis cinq ans, une recrudescence de bonnes actions. Les agents de l’État se sont assagis comme de petits agneaux dociles. La corruption et ses corollaires ont littéralement échappé aux habitudes, au grand bonheur des citoyens à la quête d’un meilleur traitement.
La capitale économique du Bénin a changé de couleurs, en témoigne les nombreuses infrastructures érigées pour renforcer celles déjà existantes. C’est le cas du palais de la République, soigneusement réfectionné aux couleurs de la nation. Une architecture dorée et dressée de pierres et de marbres attrayants. Le palais des congrès n’est pas aussi à occulter. Le régime en place, ivrogne de la beauté a retouché l’édifice. Sa splendeur et son reflet font désormais de ce lieu, les plus préférés grâce aux réformes mises en œuvre.
Le boulevard de la Marina quant à lui, a été doublement redimensionné en aller et retour pour le plaisir des usagers de ce tronçon. Les réformes sont multiples et multiformes. Le réformateur n’est rien d’autre que le chef de l’État, Patrice Talon qui déroule le tapis de la dictature du développement, pour un Bénin définitivement révélé au monde. Le chantier semble vaste, en raison des actions annoncées.
S.A.A