ENTRETIEN DES PARCELLES VIDES A PARAKOU
L’autre combat de Toko
Même si l’on n’aime pas le lièvre, il faut reconnaitre sa vitesse. C’est par cet adage qu’on traduit les nombreuses et courageuses réformes de l’édile de la cité des Kobourou Charles Toko dont le seul souci est le développement. Malheureusement, des obstacles se dressent et risquent de ternir l’image de la commune. Il s’agit des parcelles vides non entretenues.
Sinon, comment comprendre que malgré la vision du maire qui n’est rien d’autre que le développement de Parakou, certaines personnes se permettent de tout remettre à zéro? Comment comprendre qu’en pleine ville, des terrains ou parcelles vides restent insalubres? Les parcelles vides à Parakou sont devenues des nids d’insécurité et d’une insalubrité à nulle autre pareille. Ces parcelles ne sont pas du tout entretenues. Elles sont mêmes devenues des dépotoirs d’ordures malgré l’existence des structures de pré-collecte d’ordures. Les populations vivant autour de ces parcelles en font ce qu’elles veulent. Elles y versent tous types de déchets, rendant l’environnement invivable avec des déchets de toutes sortes dégageant des odeurs nauséabondes.
Les parcelles vides à Parakou sont devenues sources de maladies et pour le bonheur des populations, les autorités locales et municipales doivent prendre leurs dispositions avant que le pire n’arrive. Ainsi, après identification des propriétaires de ces parcelles vides, il faut leur imposer le sens de salubrité car c’est ce qui amène les voisins à les transformer en dépotoirs d’ordures. L’autre chose, c’est d’amener ces mêmes voisins à obligatoirement s’abonner au niveau des structures de pré-collecte d’ordures de la ville.
Comme cela, la santé des populations vivant autour de ces parcelles vides sera préservée pour un développement durable.
Wahabou ISSIFOU
