Un hôtel de la ville de Parakou a abrité le samedi 27 août 2022 la séance d’information organisée par l’Union de la Presse Internationale Francophone section Bénin (Upf-Bénin) à l’intention des jeunes étudiants de la ville. La séance a été dirigée par le président de l’Upf section Bénin Vincent Fortuné Assogba, de Macel Zoumenou, son co-communicateur, en présence d’une trentaine participants étudiants.
Athalie GBAGUIDI (Stg)
Lutter contre les fausses informations et faire connaître les opportunités qu’offre la France, c’est l’objectif visé par l’Upif section Bénin en organisant cette séance à l’endroit des étudiants de Parakou. En effet, à travers le projet Campus France, plusieurs opportunités sont offertes aux jeunes étudiants par la France. Cependant, ces opportunités sont mal connues en raison des intoxications. Il s’agit donc des fausses informations, facteurs des sentiments anti-français.
À l’entame Vincent Fortuné Assogba a présenté les opportunités qu’offre le projet Campus France aux participants en l’occurrence les formations disponibles dans les universités publiques françaises. Après cette étape, il a expliqué les conditions d’accès aux différentes formations.
Le co-communicateur Marcel Zoumenou quant à lui a fait un exposé sur les fakes -news qui circulent sur les réseaux sociaux précisément sur les actions de la France dans ses anciennes colonies. Dans la suite de sa communication, il a démontré comment détecter les sources des informations fiables pour ne pas se faire avoir. De plus, il a exposé les actions et les activités de la France à l’égard des populations de la zone ouest africaine.
Pour finir, les participants en général ont apprécié l’initiative. Selon eux, cette séance d’information était la bienvenue car elle était riche et pleine d’intérêt. C’est le cas de Kamaliath Banzou, « (…) Ma présence ici ce matin m’a permis de savoir beaucoup de choses notamment comment continuer mes études à l’extérieur en France à travers le projet Campus France ». Jordys Vodounon à son tour, a désormais un autre regard sur la France et prendra avec réserve toutes informations sur la France. « Avant je voyais que ce que la France fait n’était pas bon, mais après ce que j’ai pu entendre, j’ai finalement compris que c’était une illusion. Il faut forcément comprendre ce qui se passe avant de juger (…) », a-t-il laissé entendre.
En conclusion, il faut retenir que les communicateurs ont impacté positivement les participants.
