GRÂCE À LEUR AÎNÉ FAROU KOTO LAFIA : Chouaibou Yacoubou et Bio Guéo Gounou Koto décrochent leur master à l’Up

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Le nombre de diplômés de l’enseignement supérieur de la localité de Ouenou à N’dali continue de s’agrandir. Cette fois, c’est Chouaibou Yacoubou et Bio Guéo Gounou Koto qui viennent de décrocher tous, un master en science économique et de gestion, de l’Université de Parakou. Une action qui a été rendue possible grâce à l’aide de l’ancien deuxième Adjoint au Maire (Dam) de N’dali, Farou Koto Lafia, un aîné qui a décidé de faire autrement la politique en produisant des cadres pour sa localité.

Les deux nouveaux diplômés ont accédé à ce grade, dans la faculté des sciences économiques et de gestion (Faseg). Chouaibou Yacoubou a soutenu son mémoire sur le thème «Analyse des mécanismes de fixation des prix de référence dans les marchés publics à l’Atda 4 Bdc Parakou». Ceci dans le domaine des sciences économiques et de gestion, spécialité ”gestion des marchés publics et contrats”. L’objectif était de comprendre leur influence sur les marchés des travaux, des fournitures et des services. Le second étudiant Bio Guéo Gounou Koto, du même domaine a planché dans la spécialité ”Économie et Gestion du Développement Local (Egdl)” autour du thème «Effets de la variabilité pluviométrique sur la mobilisation des Tdl dans la commune de N’Dali». De son côté l’impétrant a travaillé pour montrer d’une part l’influence de la variabilité pluviométrique sur les rendements agricoles et d’autre part ses effets sur la mobilisation des Tdl dans la commune de N’Dali.

C’est une satisfaction pour le mécène de voir ces apprenants décrocher leur master. Pour Farou Koto Lafia, c’est une fierté de pouvoir venir en aide aux jeunes de N’dali afin de leur permettre de grandir professionnellement. « C’est ma manière à moi de manifester en un premier temps mon amour pour les jeunes. En un deuxième temps je veux leur montrer le bon chemin à suivre pour une vie professionnelle réussie. Enfin je veux les rendre autonome, c’est-à-dire leur apprendre à pêcher que de leur donner du poisson», a fait comprendre Farou Koto Lafia.

De telles actions, le généreux mécène compte en poser davantage, pour aider de nombreuses autres personnes. Une manière de faire qui doit faire école à N’Dali et sur toute l’étendue du territoire national.

Florent YAMA

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