IMMATRICULATION DES ENGINS A DEUX ROUES A GOGOUNOU
Les efforts de Moutawakirou Gounignan dans la délivrance des plaques
Grâce au leadership du maire Moutawakilou Gounignan, les populations de Gogounou ont un engouement particulier pour l’opération d’immatriculation des engins à deux roues lancée par le gouvernement pour la sécurisation des personnes et des biens. Cependant, depuis quelques jours une lenteur est constatée dans la délivrance des plaques dans cette commune. Alors, ému par les plaintes de ses administrés, le jeune maire multiplie des actions pour l’accélération de la procédure de délivrance des plaques à Gogounou pour le bonheur de ces derniers.
Edouard ADODE
Moutawakirou Gounignan fait partie des maires qui accompagnent les actions de développement du chef de l’Etat à la base. Ainsi, à l’annonce de l’opération de contrôle des plaques des engins à deux roues, l’édile de Gogounou a su utiliser son dynamisme pour susciter une adhésion massive des populations de sa commune à l’opération d’immatriculation.
Par conséquent, même sans pression ni répression cette opération continue de plus belle dans la commune de Gogounou.
Cependant, depuis un certains temps, une lenteur inhabituelle est constatée dans la délivrance des plaques des engins à deux roues dans cette commune. Alors pour soulager l’attente de ces administrés qui piaffent d’impatience pour entrer en possession des plaques de leurs engins, Moutawakirou Gounignan multiplie des actions à l’endroit des autorités compétentes.
Cette situation qui d’ailleurs prévaut dans plusieurs communes du Bénin, a été récupérée par certains politiciens en manque d’inspiration et essoufflés face au dynamisme du jeune maire membre de l’Union Progressiste, pour essayer de lui trouver une faille.
Ainsi, ces ennemies du développement de Gogounou insinuent sur les réseaux sociaux que c’est parce que le maire Gounignan aurait détourné les frais d’immatriculation des motos que les plaques ne sortent pas. Cette affabulation est d’ailleurs sans fondement et ne vise qu’à écorner l’image du jeune édile.
Ces détracteurs tapis dans l’ombre ont oublié que les populations de Gogounou sont désormais plus éveillées pour se laisser traîner par des affabulations du genre.