Depuis l’avènement du régime de la rupture, les institutions de la République ont régulièrement fonctionné. De la cour suprême à la cour constitutionnelle, les différentes décisions et arrêtés pris concourent à la bonne marche et au fonctionnement de la cité. Ainsi, sans parti pris, les institutions ont joué le rôle que leur confère la constitution.
A l’issue du scrutin présidentiel du 11 avril dernier, tous les services de l’Etat fonctionnent sans anicroche. Les régies financières et autres structures étatiques tournent à plein temps. De l’administration centrale à l’administration décentralisée, les usagers ne sont pas plaints d’un quelconque abandon de poste. Les agents de l’Etat vaquent quotidiennement à leurs occupations ce qui leur garantit un mieux-être.
La nouvelle vision mise en œuvre au Bénin, est la résultante de plusieurs faits ayant pour but de redorer le blason du quartier latin de l’Afrique. Les différents responsables à divers niveaux sont donc conscients de la tâche à abattre pour remettre le Bénin sur les rails du développement. Les actions entreprises par le pouvoir sont édifiantes, et marquent la fin de l’opacité et de la gabegie longtemps connues au Bénin.
Il va falloir durcir le ton pour que cesse les actes nuisibles à la paix et à la stabilité du pays. Le Bénin mérite plus d’attention et plus de sérieux dans la gestion des affaires de la Nation, vecteur de transparence en matière de gouvernance. Il est temps que le suivi et l’évaluation des projets et autres activités soient maintenus pour un Bénin beaucoup plus structuré et mieux géré.
S.A.A
La République à retrouvé toute sa Dignité sous Patrice TALON. Nous sommes redevenus un pays et un État respectable et respecté. Il est donc temps de mettre radicalement fin aux velléités anarchistes de groupes de brigands qui n’ont aucun respect pour l’Etat au nom de leurs intérêts égoïstes et de ceux de leurs commanditaires. Il faut absolument les mettre radicalement hors d’état de nuire.
L’autre aspect à surveiller est l’entêtement de fonctionnaires corrompus jusqu’à la moelle épinière qui persistent à exiger des pots-de-vin avant de traiter des dossiers d’autres agents de l’état promus ou nommés en conseil des ministres et qui fournissent des dossiers pour percevoir leurs premiers salaires. Ces fonctionnaires indélicats indécrottables doivent être dénichés et traités comme il se doit.
La République doit rester en marche.