OPPORTUNITÉS DE BUSINESS LIÉES AU CORONAVIRUS : Quand le malheur du monde fait le bonheur de certains

4 ans ago | Written by
12 880 vues
0 0

OPPORTUNITÉS DE BUSINESS LIÉES AU CORONAVIRUS

Quand le malheur du monde fait le bonheur de certains

Depuis décembre le nouveau coronavirus a pénétré le quotidien de chaque du monde entier et transforme ainsi le monde, présentant un défi médical, économique et humaine sans précédent. L’épidémie du Covid-19 fait plonger l’économie de chaque pays dans une crise majeure. Mais quelques malins savent en tirer profit.
Ainsi, plusieurs personnes appliquent en ce moment à la lettre l’adage selon lequel « à une chose, malheur est bon ». Pour elles, cette pandémie est une opportunité pour faire prospérer leurs business ou promouvoir leurs produits de manière surprenante.
En ce moment où non seulement la peur règne dans les cœurs mais aussi les larmes aux yeux de la population, et que le Covid-19 fait régner la crainte, juste à côté la pandémie fait des heureux dans certains corps de métier dont les chiffres d’affaires sont améliorés. C’est le cas des soudeurs, pombliers ou encore vendeurs de plastiques sollicités dans la confession des dispositifs de lavage des mains.
Retrouvé aux entrées des services, restaurants, pharmacies et autres lieux de fréquentation puisque le mécanisme de lave mains est recommandé dans la riposte contre le Covid-19 ; plombiers, soudeurs et vendeuses de plastiques profitent de la situation pour augmenter le prix des articles sans avoir une petite compassion de la peine que se font ses acheteurs.
Complémentairement, les soudeurs et les plombiers travaillent pour mettre en place le dispositif de lavage des mains, ceci après achat du plastique chez les vendeuses à un prix variant de 30.000 à 45.000F francs. C’est ainsi le coût des dispositifs que prennent les structures et la population, malgré les maux qui minent chaque famille dans les foyers. Les vendeuses des plastiques n’expriment non plus leur sympathie à l’endroit de ses acheteurs puisque de façon brusque les plastiques autrefois à 3500 sont passés à 4200F francs chez certains et 4000F francs chez d’autres. Bref, chaque vendeuse en fait son prix selon sa volonté.
Mais pourtant on dit que la femme en elle porte l’amour, la pitié, la compassion, alors où sont laissés ces caractéristiques de la femme, sûrement enterrées pour certainement de l’argent.
Pire dans tout ceci, il est difficile presqu’impossible de réprimander ces derniers puisque pour eux, c’est le business qui compte. Ne dit-on pas que le malheur de quelqu’un fait le bonheur de l’autre ? Mais au moment venu, la conséquence agira sur tous sans exception.

Huguette LAWANI (Stg)

Article Categories:
A la une · Actualité

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Daabaaru