ORPHELINAT SAINTE THERESE DE L’ENFANT JESUS DE TCHATCHOU : Le groupe de presse Daabaaru fait don de vivres

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Photo de famille

Quelques échantillons de vivres offerts à l’orphelinat

Fidèle à ses habitudes à chaque fin d’année, le personnel du groupe de presse et de communication Daabaaru, une composante de l’entreprise Bok-Sarl, était le lundi 28 décembre 2020 à Tchatchou un arrondissement de la commune de Tchaourou pour une action sociale à l’endroit des nécessiteux. C’est l’orphelinat Sainte Thérèse de l’enfant de Tchatchou qui a reçu la délégation de cet organe de presse sis à Parakou, les bras chargés de vivres. Comme l’adage qui dit, « Qui donne au pauvre prête à Dieu », ce jeune organe de presse a voulu partager le peu dont Dieu lui a fait grâce, avec les orphelins afin de leur permettre de passer aussi de bons moments de fête. C’est une manière de rendre grâce à Dieu pour les miracles opérés au cours de l’année qui s’achève pensent les donateurs.
Selon le Pdg de l’entreprise Bok-Sarl Barnabas Orou Kouman, « lorsque vous êtes reconnaissant envers Dieu, il faut partager le peu qu’il vous a donné. Nous avons pris l’habitude à chaque fin d’année d’aller partager notre joie, notre gratitude avec certaines personnes. Cette année, nous avons choisi venir dans cet orphelinat pour partager quelques moments de joie, c’est une manière pour nous, de reconnaître ce que vous faite pour la Nation béninoise ».

En recevant le don composé de sac de riz, de cartons de spaghetti de savons et bien d’autres, la responsable de l’orphelinat Sidonie Avocè, a rappelé le contexte de création de ce centre pour enfant. À l’en croire, l’orphelinat Sainte Thérèse de l’Enfant Jésus de Tchatchou est créé en 1999 par Monseigneur Nestor Assogba et est une structure de l’Organisation Non Gouvernementale (Ong) Ssph-Ocpsb. Le centre contient aujourd’hui une 30 d’enfants dont l’âge est compris entre 0 à 8ans. Il accueil également les filles déscolarisées qui reçoivent une formation professionnelle pour s’installer. Ce centre a également à sa charge, 6 mamans et 3 religieuses qui s’occupent de ces bouts de chou. La plupart des enfants recueillis par cet orphelinat sont des enfants orphelins dont les mères sont mortes en couche, les enfants abandonnés, ceux dont les mamans ont des problèmes psychologiques. « Notre cible, c’est principalement les enfants qui n’ont pas de mère », a précisé la religieuse Sidonie Avocè. Elle a pour cela remercié le personnel du groupe de presse et de communication Daabaaru pour ce geste de générosité à l’endroit de ces orphelins. « Les enfants passent par ma voix pour vous dire sincèrement merci et pour vous souhaiter une joyeuse et sainte année 2021. Je souhaite longue vie à vous et à votre organe de presse. Les saintes âmes de ces enfants vous accompagneront dans tous vos projets. Ils prieront pour vous afin que vous alliez de l’avant dans ce que vous allez entreprendre », a prié la responsable.
Par ailleurs, elle n’a pas manqué d’inviter les bonnes volontés à continuer par soutenir cet orphelinat qui malgré les soutiens qu’il reçoit de part et d’autre, manque toujours de moyens pour prendre en charge tous les besoins de ces enfants défavorisés.

Samira ZAKARI

Fidèle à ses habitudes à chaque fin d’année, le personnel du groupe de presse et de communication Daabaaru, une composante de l’entreprise de presse et de Communication Bok-Sarl, était le lundi 28 décembre 2020 à Tchatchou un arrondissement de la commune de Tchaourou pour une action sociale à l’endroit des nécessiteux. C’est l’orphelinat Sainte Thérèse de l’enfant de Tchatchou qui a reçu la délégation de ce Groupe de presse sis à Parakou. Comme l’adage qui dit, « Qui donne au pauvre prête à Dieu », cette jeune entreprise de presse a voulu partager le peu dont Dieu lui a fait grâce, avec les orphelins afin de leur permettre de passer aussi de bons moments de fête. C’est une manière de rendre grâce à Dieu pour les miracles opérés au cours de l’année qui s’achève pensent les donateurs.
Selon le Pdg de l’entreprise Bok-Sarl Barnabas Orou Kouman, « lorsque vous êtes reconnaissant envers Dieu, il faut partager le peu qu’il vous a donné. Nous avons pris l’habitude à chaque fin d’année d’aller partager notre joie, notre gratitude avec certaines personnes. Cette année, nous avons choisi venir dans cet orphelinat pour partager quelques moments de joie, c’est une manière pour nous, de reconnaître ce que vous faite pour la Nation béninoise ».

En recevant le don composé de sac de riz, de cartons de spaghetti de savons et bien d’autres, la responsable de l’orphelinat Sidonie Avocè, a rappelé le contexte de création de ce centre pour enfant. À l’en croire, l’orphelinat Sainte Thérèse de l’Enfant Jésus de Tchatchou est créé en 1999 par Monseigneur Nestor Assogba et est une structure de l’Organisation Non Gouvernementale (Ong) Ssph-Ocpsb. Le centre contient aujourd’hui une trentaine d’enfants dont l’âge est compris entre 0 et 8ans. Il accueille également les filles déscolarisées qui reçoivent une formation professionnelle pour s’installer. Ce centre a également à sa charge, 6 mamans et 3 religieuses qui s’occupent de ces bouts de chou. La plupart des enfants recueillis par cet orphelinat sont des enfants orphelins dont les mères sont mortes en couche, les enfants abandonnés, ceux dont les mamans ont des problèmes psychologiques. « Notre cible, c’est principalement les enfants qui n’ont pas de mère », a précisé la religieuse Sidonie Avocè.

Elle a remercié le personnel de l’entreprise de presse et de communication Bok Sarl pour ce geste de générosité à l’endroit de ces orphelins. « Les enfants passent par ma voix pour vous dire sincèrement merci et pour vous souhaiter une joyeuse et sainte année 2021. Je souhaite longue vie à vous et à votre organe de presse. Les saintes âmes de ces enfants vous accompagneront dans tous vos projets. Ils prieront pour vous afin que vous alliez de l’avant dans ce que vous allez entreprendre », a prié la responsable.

Par ailleurs, elle n’a manqué d’inviter les bonnes volontés à continuer par soutenir cet orphelinat qui malgré les soutiens qu’il reçoit de part et d’autre, manque toujours de moyens pour prendre en charge tous les besoins de ces enfants défavorisés.

Samira ZAKARI

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